C’est en ces termes, rapportés par le quotidien libanais As-Safir, que Haitham Manaa, porte-parole de l'Arab Commission of Human Rights (ou Commission arabe des droits humains) a critiqué le rassemblement de soutien au peuple syrien qui s’est tenu à Paris le 4 juillet dernier.
Accréditée auprès de l’ONU depuis 2004, la Commission arabe des droits humains fait partie des éditeurs d’une brochure antisémite diffusée depuis 2002 : le Manifeste judéo-nazi d’Ariel Sharon. Les origines du génocide actuel des Palestiniens. Jusqu’en 2008, cette ONG avait pour porte-parole l’avocat algérien Rachid Mesli, qui a défendu les leaders du Front islamique du Salut (FIS), Abbassi Madani et Ali Belhadj. Réfugié en Suisse, Mesli est accusé par les autorités algériennes d’avoir appartenu au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).
« Des manœuvres sordides »
Le 27 mai 2011, trois personnalités de l’opposition syrienne en France, le professeur Burhan Ghalioun, l’écrivain Subhi Hadidi, et l’éditeur Farouk Mardam Bey, avaient publié sur Mediapart une tribune appelant au boycott de SOS Syrie (l’association co-fondée par Bernard-Henri Lévy) et considérant toutes ses initiatives « comme des manœuvres sordides qui visent à détourner l'opposition démocratique syrienne de ses objectifs et portent atteinte à sa crédibilité devant son peuple ».
Voir aussi :
* Manifestations en Syrie : Assad et Chavez dénoncent la main de l'étranger
C’est en ces termes, rapportés par le quotidien libanais As-Safir, que Haitham Manaa, porte-parole de l'Arab Commission of Human Rights (ou Commission arabe des droits humains) a critiqué le rassemblement de soutien au peuple syrien qui s’est tenu à Paris le 4 juillet dernier.
Accréditée auprès de l’ONU depuis 2004, la Commission arabe des droits humains fait partie des éditeurs d’une brochure antisémite diffusée depuis 2002 : le Manifeste judéo-nazi d’Ariel Sharon. Les origines du génocide actuel des Palestiniens. Jusqu’en 2008, cette ONG avait pour porte-parole l’avocat algérien Rachid Mesli, qui a défendu les leaders du Front islamique du Salut (FIS), Abbassi Madani et Ali Belhadj. Réfugié en Suisse, Mesli est accusé par les autorités algériennes d’avoir appartenu au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).
« Des manœuvres sordides »
Le 27 mai 2011, trois personnalités de l’opposition syrienne en France, le professeur Burhan Ghalioun, l’écrivain Subhi Hadidi, et l’éditeur Farouk Mardam Bey, avaient publié sur Mediapart une tribune appelant au boycott de SOS Syrie (l’association co-fondée par Bernard-Henri Lévy) et considérant toutes ses initiatives « comme des manœuvres sordides qui visent à détourner l'opposition démocratique syrienne de ses objectifs et portent atteinte à sa crédibilité devant son peuple ».
Voir aussi :
* Manifestations en Syrie : Assad et Chavez dénoncent la main de l'étranger
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