Connu pour ses interventions décalées, le député des Pyrénées-Atlantiques a perdu de son capital sympathie en prenant Éric Zemmour dans ses bras lors de la manifestation des policiers devant l’Assemblée nationale. Au-delà des blagues, le Béarnais est pourtant un compagnon de route de la complosphère.
Pour semer le doute sur la responsabilité d’Assad dans les attaques chimiques commises en Syrie et décrédibiliser le travail de l’OIAC, la propagande russe s’appuie sur d’anciens diplomates qui ont dénoncé la politique américaine en Irak avant de basculer dans le conspirationnisme.
La députée Martine Wonner a participé à une manifestation anti-confinement à Metz, ce samedi. Un rassemblement citoyen visant à « réinformer » sur le Covid-19, organisé par la complosphère et un collectif de Gilets jaunes, à la gloire de l’élue du Bas-Rhin qui cherche à capter ce nouveau public.
La journaliste canadienne, qui soutient que les Tutsi ont participé à leur propre génocide, a bénéficié en France d’une large publicité. Seul média mainstream à lui ouvrir ses colonnes : l'hebdomadaire Marianne.
Une enquête de Bellingcat révèle que Jim Watkins, l’administrateur du forum 8chan, a fréquemment échangé avec des membres importants de la mouvance QAnon. L’homme d’affaires est depuis longtemps accusé d’être derrière l'essor de ce nouveau mouvement complotiste.
L’incident d’Avignon impliquant un individu armé vêtu d’une doudoune « Génération Identitaire » a mis la fachosphère dans l’embarras. Pour s’en dédouaner, ses partisans jouent la carte du « false flag ». Un dangereux cocktail de radicalisation fait de complotisme et d’incitation à la violence.
Invité par BFM TV, Jean-Marie Bigard a pu déballer au sujet de l’épidémie de Covid-19 des théories qui apparaissent encore plus grotesques en pleine seconde vague. Un exemple de conspirationnisme diffusé à une heure de grande écoute, avec des conséquences concrètes sur la lutte contre la pandémie.
En cherchant à prouver que le « Russiagate » n’est qu’une « fake news », le site « France Soir » démontre surtout qu'il a basculé dans le complotisme le plus échevelé.
À la tête d’une immense machine à désinformer, l’oligarque incarne à lui seul le concept de la « guerre hybride » et se tiendrait déjà prêt pour perturber l’élection américaine de novembre.
Depuis l’hospitalisation d’Alexeï Navalny jeudi dernier, les médias russes ont diffusé plusieurs théories alternatives à celle de l’empoisonnement. Des théories qui se contredisent entre elles, mais qui obéissent à la stratégie habituelle du Kremlin : saturer l’espace informationnel pour étouffer la vérité.