Co-fondateur de Courrier international en 1990, Maurice Ronai est un expert des politiques publiques numériques. Il a enseigné, de 1997 à 2001, à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) avant de devenir membre de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) de 2014 à 2019.
Figure de la mouvance covido-complotiste, le pharmacologue semble aujourd'hui sous l'emprise d'un homme d'affaires manipulateur, ce qui inquiète jusqu'à ses partisans de la première heure.
Peu après l'attentat de Butler, on a vu resurgir deux acronymes classiques de la rhétorique conspirationniste sur les attaques du 11-Septembre : LIHOP (« Let It Happen On Purpose ») et MIHOP (« Make It Happen On Purpose »). Explications.
Le respect des principes, règles et recommandations de l'encyclopédie collaborative en ligne a permis qu'elle ne se transforme pas en caisse de résonance des théories complotistes autour de la pandémie de coronavirus.
Sur les réseaux sociaux, des complotistes adeptes de QAnon relayés par des personnalités pro-Trump accusent des activistes d'extrême gauche d'être derrière les incendies criminels qui ravagent l'Oregon.
Début avril, l'ex-ministre avait initié un manifeste demandant au Gouvernement la liberté pour les médecins de prescrire plus facilement de l'hydroxychloroquine aux patients atteints de Covid-19.
Des pyromanes à l’origine des incendies en Australie ? Non, un « récit » propagé par la presse climatosceptique et relayée par une myriade de sites complotistes.
La reconnaissance officielle, par l'Iran, de sa responsabilité dans le crash d'un Boeing ukrainien le 8 janvier dernier a plongé la complosphère dans le désarroi. Aujourd'hui, les plus irréductibles continuent d'évoquer un piège tendu à Téhéran par Washington.