Le numéro de mars 2009 du mensuel Sciences et Avenir a consacré un dossier aux Archives nationales. On y apprend la découverte, parmi les trésors que recèle la fameuse "armoire de fer", de la fiche signalétique d'Adolf Hitler, établie par les Renseignements Généraux français en 1924. La France venait de commencer à occuper la Ruhr […]
Les "debunkers" italiens du collectif Undicisettembre ("Onze septembre") ont réalisé un travail remarquable sur les attentats de 2001. Suite à la sortie en Italie du film conspirationniste Zero - Inchiesta sull'11 settembre, de Giulietto Chiesa, Franco Fracassi et Francesco Trento (ci-dessus), ils ont mené une contre-enquête (1) publiée en ligne sous le titre Zerobubbole. Comme […]
L’émission culte de Canal + fête son vingtième anniversaire. L’occasion de lire ou de relire les passages qu’a consacrés Antoine Vitkine aux Guignols de l’info dans son livre, "Les Nouveaux imposteurs".
Currency Wars consiste en une réécriture de vieilles théories du complot existant depuis des décennies en Occident et faisant intervenir le fantasme de la « banque juive ».
Propos recueillis par François Barras 24 heures : Comment expliquer la séduction des théories du complot ? Pierre-André Taguieff : Ces explications répondent à un besoin de sens global : le complot mondial, ou mégacomplot, permet d’échafauder une sorte de philosophie de l’histoire destinée au grand public, il représente l’une des vulgarisations les plus populaires […]
N’allez donc surtout pas dire à Robert Fisk ou à Aymeric Chauprade qu’ils sont conspirationnistes. Ils n’« adhèrent » pas à la théorie du complot... Ils reprennent juste ses arguments !
Cette petite brochure de 10 cm sur 15 est apparue en mai 2002 sur les stands de livres dressés à l’occasion du rassemblement annuel de l’UOIF au Bourget.
Entretien avec Philippe Roger Conspiracy Watch : Dans votre livre, L'Ennemi américain (Seuil, 2002), vous retracez la « généalogie de l'antiaméricanisme français ». Comment définiriez-vous l'antiaméricanisme ? Philippe Roger : Avant tout, comme un «discours», un peu au sens de Michel Foucault : une sédimentation sur la longue durée de perceptions, de textes, d'images hostiles […]