Exaltée par ce nouveau mandat de Donald Trump, la sphère complotiste n’espère qu’une chose : que le futur président réforme en profondeur le pays et puisse vaincre "l'Etat profond" qui entrave sa politique. Une obsession tenace, partagée au sein même de la garde rapprochée du président.
Exaltée par ce nouveau mandat de Donald Trump, la sphère complotiste n’espère qu’une chose : que le futur président réforme en profondeur le pays et puisse vaincre "l'Etat profond" qui entrave sa politique. Une obsession tenace, partagée au sein même de la garde rapprochée du président.
Les théories du complot sont la raison de vivre des partisans de Donald Trump. Malgré les fake news de leur candidat, ils semblent préférer cette vérité alternative défendue par l'ex-président, où Kamala Harris se servirait du vote des immigrés pour truquer l'élection, et où l'Etat profond aurait tenté d'assassiner par deux fois leur candidat.
Le 22 novembre 1963, le président des États-Unis John Fitzgerald Kennedy est assassiné lors d’une visite officielle à Dallas, au Texas. Le principal suspect, Lee Harvey Oswald, est arrêté, puis tué deux jours plus tard devant les caméras. Les États-Unis resteront marqués à jamais par cet événement qui a nourri de nombreuses thèses conspirationnistes.
Sidney Powell, l’avocate de Trump, est inculpée pour avoir tenté de manipuler les votes lors de la présidentielle de 2020. Et elle n’est pas la seule...
Le Texan Alex Jones a été condamné après avoir qualifié de « canular » la tuerie de l’école de Sandy Hook. Il risque jusqu’à cinq ans de prison pour parjure.
La dernière élection présidentielle américaine a bel et bien donné lieu à une manipulation politique d'envergure. Et ce n'est pas du tout celle à laquelle croient les partisans de Donald Trump...