La réaction de la complosphère, suite à l'invasion des lieux de pouvoir brésiliens, ressemble trait pour trait à la rhétorique martelée par les militants trumpistes depuis l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021.
The Grayzone s’est imposé au fil des années comme l’un des principaux médias conspirationnistes pro-Kremlin aux États-Unis. Les preuves de ses liens avec l’écosystème de la propagande russe s’accumulent.
Suite au putsch au Burkina Faso, de nombreux drapeaux russes ont été vu dans des manifestations anti-France. Ce soutien affiché à la Russie résulte d’une entreprise d’influence puissante, qui n’hésite pas à utiliser des théories du complot.
Le premier tour de l'élection présidentielle au Brésil, dimanche 2 octobre, opposera Jair Bolsonaro à l'ex-président Lula. En cas de victoire de son adversaire, le président sortant laisse planer l'éventualité d'un scénario insurrectionnel à la Trump.
Elizabeth II, Lady Di, mais aussi le reste de la famille royale britannique : les théories du complot qui les visent sont nombreuses, et anciennes, et se voient réactivées à l'occasion de la mort de la reine d'Angleterre.
La blogueuse canadienne a rejoint une parodie de tribunal censé juger des crimes de guerre ukrainiens. Une consécration après des années passées à propager fausses informations et théories du complot pour les régimes les plus autoritaires de la planète.
La mort de la princesse Diana, le 31 août 1997, continue d’inspirer les théories du complot les plus populaires. Lesquelles trouvent leur source dans une campagne de désinformation massive lancée par le milliardaire égyptien Mohamed Al-Fayed.
Le Texan Alex Jones a été condamné après avoir qualifié de « canular » la tuerie de l’école de Sandy Hook. Il risque jusqu’à cinq ans de prison pour parjure.