Agent de la CIA, complot de l'Occident, victime du vaccin contre le Covid-19... de nombreuses théories du complot sont apparues à l'annonce de la mort de l'opposant russe en prison, certaines relayées par la propagande du Kremlin.
La blogueuse canadienne a rejoint une parodie de tribunal censé juger des crimes de guerre ukrainiens. Une consécration après des années passées à propager fausses informations et théories du complot pour les régimes les plus autoritaires de la planète.
Pour parer l’accusation de collusion avec le régime de Vladimir Poutine, le chef des Insoumis exhibe régulièrement son « amitié » avec des opposants russes qui se sont pourtant compromis, à des degrés divers, avec la rhétorique nationaliste et complotiste du Kremlin.
Chaque année depuis 2005, la Russie fait voter par l’Assemblée générale des Nations unies une résolution condamnant le nazisme, instrumentalisant sans vergogne une thématique grave afin de détourner l'attention vers l’Occident et, depuis 2014, l’Ukraine.
Dans Russia Today (RT), le chercheur à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) Maxime Audinet livre un travail d’une précision inédite sur la chaîne d’information russe et son implantation dans l’écosystème « alternatif » de nos démocraties.
Les récents développements de l’affaire Skripal renseignent une nouvelle fois sur la manière dont le Kremlin instrumentalise les réseaux sociaux et les théories du complot pour brouiller les pistes.
Contributrice d'un site internet complotiste, Vanessa Beeley est « l'experte » dont les médias russes ont besoin pour discréditer les témoignages et l'action des volontaires de la Défense civile syrienne, aussi appelés « les Casques blancs ».
Une vidéo virale met en garde les Russes contre les menaces jumelles que représenteraient la nostalgie à l'égard de la période soviétique et l'aspiration à un modèle occidental présenté comme décadent. Sans parvenir à éviter, au passage, les stéréotypes racistes et homophobes...