First Draft News montre que des réseaux de désinformation pro-russes ne sont pas étrangers aux théories du complot vaccino-sceptiques qui circulent en Afrique de l'Ouest.
La pandémie de coronavirus s'est accompagnée d'un pic significatif d'incitations à la haine et à la violence sur fond de théories du complot, conclut un récent rapport de Moonshot CVE.
La catastrophe a donné naissance à un complotisme qui, il y a quelques mois, a failli tuer. Jérôme Fourquet (Ifop) et Rudy Reichstadt (Conspiracy Watch) dressent un état des lieux de l’opinion publique sur le sujet. Les sympathisants de l'extrême droite se distinguent nettement des autres.
Les médias russes ont lancé « une importante campagne de désinformation » en Europe afin de semer la discorde affirme un rapport interne du service diplomatique de l'Union européenne.
La société de modération Netino By Webhelp a sorti pour la deuxième année consécutive une étude sur la haine en ligne. Elle révèle qu’un commentaire sur sept laissé sur un réseau social comme Facebook serait haineux. Une tendance en hausse depuis l’année dernière.
Conspiracy Watch publie son rapport annuel dressant un panorama sans concession des diverses manifestations du complotisme et du négationnisme au cours de l'année 2018. Plusieurs recommandations visant à limiter l'influence de l'imaginaire conspirationniste y sont soumises à débat.
Les fantasmes sur l’immigration sont anciens et ceux qui les diffusent ont parfois recours à des chiffres fantaisistes ou à des comparaisons abusives. Revient régulièrement dans ces débats la thèse du « Grand Remplacement », qui désigne clairement des responsables aux flux migratoires ainsi que la solution – radicale – envisagée pour les endiguer, la « remigration »...
L’été 1967 annonce une coupure entre le premier et le second âge du négationnisme. Suite à la Guerre des Six Jours, les marqueurs discursifs évoluent. Un tournant rhétorique s’opère avec le « soutien au peuple palestinien ».
Ordre nouveau, qui fut le principal mouvement néofasciste français, fonda le Front national en 1972 et fut dissous en 1973. Véritable voyage historique au cœur de la radicalité, cette Etude préfacée par Jean-Yves Camus permet de comprendre cette phase de renaissance de l’extrême droite.