La COP29, le retour de Donald Trump, les inondations en Espagne... L'actualité nourrit les théories du complot les plus folles. Cet épisode de Complorama dissèque les discours qui nient ou minimisent le changement climatique, et analyse comment ils se propagent, de la sphère politique aux réseaux sociaux.
Exaltée par ce nouveau mandat de Donald Trump, la sphère complotiste n’espère qu’une chose : que le futur président réforme en profondeur le pays et puisse vaincre "l'Etat profond" qui entrave sa politique. Une obsession tenace, partagée au sein même de la garde rapprochée du président.
Le milliardaire, patron de Tesla, SpaceX ou du réseau social X, est un fervent partisan de Donald Trump. Mais son soutien va bien au-delà des simples déclarations. Cet épisode de Complorama explore comment Elon Musk soutient activement la campagne de Donald Trump, alimentant un climat de désinformation et de manipulation.
Dans ce nouvel épisode de Complorama, Tristan Mendès France et Rudy Reichstadt explorent la fascination de la complosphère pour les mythes historiques, examinant comment ces récits sont déformés et instrumentalisés à des fins idéologiques.
Les théories du complot sont la raison de vivre des partisans de Donald Trump. Malgré les fake news de leur candidat, ils semblent préférer cette vérité alternative défendue par l'ex-président, où Kamala Harris se servirait du vote des immigrés pour truquer l'élection, et où l'Etat profond aurait tenté d'assassiner par deux fois leur candidat.
Le 28 juillet 2024, Nicolás Maduro gagne l’élection présidentielle avec 51,2 % des voix selon le Conseil national électoral (CNE). Le conseil se dit victime d’un piratage informatique. Le soir même, l’opposition dénonce une fraude électorale massive. C’est le candidat Edmundo Gonzalez Urrutia qui aurait dû être élu.
Un plan secret de propagation d'un virus, un projet d'attaque terroriste ou nucléaire... De nombreuses théories complotistes visant les Jeux de Paris 2024 circulent depuis plusieurs mois sur les réseaux sociaux. Mais l'olympisme inspire la sphère conspirationniste depuis au moins les années 70.
Alors que la campagne des élections européennes a été une occasion pour certains candidats de diffuser leur discours complotiste et de crier à la fraude électorale, l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par le chef de l'État n'a pas manqué de faire réagir la complosphère.
La complosphère s’empare régulièrement des grandes peurs qui traversent nos sociétés, réactivant le thème de la "fin du monde". À chaque fois, les complotistes se sont engouffrés dans la brèche à coup de prophéties erronées, de prédictions de "guerre thermonucléaire" ou de "génocide vaccinal" finalement démenties par la réalité.
Depuis un mois, les électeurs indiens se pressent dans les bureaux de vote pour élire les 543 députés de la chambre basse du Parlement. Au pouvoir depuis dix ans, le Premier ministre Narendra Modi mène sur la "plus grande démocratie du monde" une politique autoritaire et liberticide où le complotisme n'est jamais bien loin.