Donald Trump a accusé, samedi 4 mars, Barack Obama de l’avoir mis sur écoute avant l’élection présidentielle du 8 novembre. Le président américain a lancé cette accusation, depuis sa résidence privée de Mar-a-Lago à Palm Beach (Floride), dans une série de cinq tweets, sans donner de détails, ni de preuves. Il a reproché à l’ancien président d’être une « personne malfaisante (ou malade) ».
How low has President Obama gone to tapp my phones during the very sacred election process. This is Nixon/Watergate. Bad (or sick) guy!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 4 mars 2017
« Exécrable ! Je viens de découvrir que le président Obama avait mis mes lignes sur écoute dans la tour Trump juste avant ma victoire », a écrit Donald Trump. « C’est du maccarthysme », a-t-il commenté, en référence à la traque des militants et sympathisants communistes aux États-Unis dans les années 1950. Donald Trump a fait un parallèle avec le scandale du Watergate, l’espionnage politique qui aboutit en 1974 à la démission de Richard Nixon, alors président du pays. (...)
Donald Trump a accusé, samedi 4 mars, Barack Obama de l’avoir mis sur écoute avant l’élection présidentielle du 8 novembre. Le président américain a lancé cette accusation, depuis sa résidence privée de Mar-a-Lago à Palm Beach (Floride), dans une série de cinq tweets, sans donner de détails, ni de preuves. Il a reproché à l’ancien président d’être une « personne malfaisante (ou malade) ».
How low has President Obama gone to tapp my phones during the very sacred election process. This is Nixon/Watergate. Bad (or sick) guy!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 4 mars 2017
« Exécrable ! Je viens de découvrir que le président Obama avait mis mes lignes sur écoute dans la tour Trump juste avant ma victoire », a écrit Donald Trump. « C’est du maccarthysme », a-t-il commenté, en référence à la traque des militants et sympathisants communistes aux États-Unis dans les années 1950. Donald Trump a fait un parallèle avec le scandale du Watergate, l’espionnage politique qui aboutit en 1974 à la démission de Richard Nixon, alors président du pays. (...)
Depuis seize ans, Conspiracy Watch contribue à sensibiliser aux dangers du complotisme en assurant un travail d’information et de veille critique sans équivalent. Pour pérenniser nos activités, le soutien de nos lecteurs est indispensable.