Les diplomaties canadienne et américaine ont également condamné la nomination de Hilal Elver. Professeure à l’Université de Californie, Elver n’est pas une universitaire lambda : elle est l’épouse ainsi que la plus proche collaboratrice du très controversé Richard Falk, rapporteur spécial du Conseil des droits de l’homme des Nations unies pour les Territoires palestiniens dont le mandat, débuté en 2008, a pris fin le jour de la nomination de sa conjointe, raison pour laquelle UN Watch parle de «népotisme» et dénonce un «jeu de chaises musicales».
Dans une tribune publiée en mars dernier, le directeur d’UN Watch, Hillel Neuer, rappelle que Hilal Elver cite le livre de Griffin dans ses écrits, comparant le 11-Septembre à l’attaque de Pearl Harbor et expliquant que, dans les deux cas, ces attaques « avaient permis au gouvernement américain de déchaîner la puissance guerrière », d’« envahir des pays », de « créer de nouvelles hégémonies », d’encourager « les discriminations raciales » et de « diviser les gens à l’intérieur des Etats-Unis ».
Compagnon de route du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre depuis une dizaine d’années, Richard Falk s’est illustré au cours de son mandat par ses prises de position extrémistes, suscitant des critiques sévères de la part du Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, et des protestations de la part de la diplomatie américaine. Ses critiques élogieuses des ouvrages d’auteurs conspirationnistes comme Gilad Atzmon ou Peter Dale Scott et ses accointances avec David Ray Griffin ou encore Kevin Barrett l’inscrivent parmi les personnalités les plus engagées en faveur de la banalisation de la théorie du complot.
Voir aussi :
* Richard Falk : un conspirationniste à l’ONU
Les diplomaties canadienne et américaine ont également condamné la nomination de Hilal Elver. Professeure à l’Université de Californie, Elver n’est pas une universitaire lambda : elle est l’épouse ainsi que la plus proche collaboratrice du très controversé Richard Falk, rapporteur spécial du Conseil des droits de l’homme des Nations unies pour les Territoires palestiniens dont le mandat, débuté en 2008, a pris fin le jour de la nomination de sa conjointe, raison pour laquelle UN Watch parle de «népotisme» et dénonce un «jeu de chaises musicales».
Dans une tribune publiée en mars dernier, le directeur d’UN Watch, Hillel Neuer, rappelle que Hilal Elver cite le livre de Griffin dans ses écrits, comparant le 11-Septembre à l’attaque de Pearl Harbor et expliquant que, dans les deux cas, ces attaques « avaient permis au gouvernement américain de déchaîner la puissance guerrière », d’« envahir des pays », de « créer de nouvelles hégémonies », d’encourager « les discriminations raciales » et de « diviser les gens à l’intérieur des Etats-Unis ».
Compagnon de route du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre depuis une dizaine d’années, Richard Falk s’est illustré au cours de son mandat par ses prises de position extrémistes, suscitant des critiques sévères de la part du Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, et des protestations de la part de la diplomatie américaine. Ses critiques élogieuses des ouvrages d’auteurs conspirationnistes comme Gilad Atzmon ou Peter Dale Scott et ses accointances avec David Ray Griffin ou encore Kevin Barrett l’inscrivent parmi les personnalités les plus engagées en faveur de la banalisation de la théorie du complot.
Voir aussi :
* Richard Falk : un conspirationniste à l’ONU
Depuis seize ans, Conspiracy Watch contribue à sensibiliser aux dangers du complotisme en assurant un travail d’information et de veille critique sans équivalent. Pour pérenniser nos activités, le soutien de nos lecteurs est indispensable.