« Il n'y a aucun doute, dans l’appareil de la défense, sur le fait que les auteurs de l'attaque étaient des Juifs » a déclaré l'officier lors d'un point presse de l'armée israélienne.
Dans la nuit du 30 au 31 juillet 2015, un enfant de 18 mois, Ali Dawabsha, est mort brûlé vif dans l'attaque de sa maison, située dans le village palestinien de Douma. Son père, Saad, et sa mère, Riham, ont succombé à leurs blessures respectivement la semaine suivante et au début du mois de septembre. Ahmed Dawabsha, âgé de 4 ans, est toujours hospitalisé au centre médical Sheba à Tel Hashomer, près de Ramat Gan (Israël), avec des brûlures sur une grande partie du corps. Il est le seul membre survivant de la famille.
« Ce fut un acte de terrorisme juif, sans aucune ambiguïté », a déclaré l'officier. Il n’a pas révélé les éléments de l’enquête en cours, mais a insisté sur le fait que « les conjectures et spéculations sur cette question n’ont aucun fondement dans la réalité ».
Depuis le drame de Douma, des militants d'extrême-droite prétendent que l’enquête n’a pas encore prouvé que l’attaque a été menée par des terroristes juifs.
Des graffitis en hébreu avaient été trouvés sur le site de l'attaque. Peu après, les autorités israéliennes avaient arrêté trois colons juifs extrémistes, Mordehaï Mayer, Meïr Ettinger et Eviatar Slonim. Petit-fils du rabbin Meïr Kahane - fondateur du mouvement raciste anti-Arabes Kach -, Ettinger fait l'objet d'une surveillance particulière du Shin Beth. Depuis des années, des extrémistes juifs agressent, sous le label «Prix à payer», des Palestiniens, des Arabes israéliens et des soldats israéliens, et vandalisent des lieux de culte musulmans ou chrétiens.
Sources : The Times of Israel, 8 septembre 2015 ; Europe 1, 5 août 2015.
« Il n'y a aucun doute, dans l’appareil de la défense, sur le fait que les auteurs de l'attaque étaient des Juifs » a déclaré l'officier lors d'un point presse de l'armée israélienne.
Dans la nuit du 30 au 31 juillet 2015, un enfant de 18 mois, Ali Dawabsha, est mort brûlé vif dans l'attaque de sa maison, située dans le village palestinien de Douma. Son père, Saad, et sa mère, Riham, ont succombé à leurs blessures respectivement la semaine suivante et au début du mois de septembre. Ahmed Dawabsha, âgé de 4 ans, est toujours hospitalisé au centre médical Sheba à Tel Hashomer, près de Ramat Gan (Israël), avec des brûlures sur une grande partie du corps. Il est le seul membre survivant de la famille.
« Ce fut un acte de terrorisme juif, sans aucune ambiguïté », a déclaré l'officier. Il n’a pas révélé les éléments de l’enquête en cours, mais a insisté sur le fait que « les conjectures et spéculations sur cette question n’ont aucun fondement dans la réalité ».
Depuis le drame de Douma, des militants d'extrême-droite prétendent que l’enquête n’a pas encore prouvé que l’attaque a été menée par des terroristes juifs.
Des graffitis en hébreu avaient été trouvés sur le site de l'attaque. Peu après, les autorités israéliennes avaient arrêté trois colons juifs extrémistes, Mordehaï Mayer, Meïr Ettinger et Eviatar Slonim. Petit-fils du rabbin Meïr Kahane - fondateur du mouvement raciste anti-Arabes Kach -, Ettinger fait l'objet d'une surveillance particulière du Shin Beth. Depuis des années, des extrémistes juifs agressent, sous le label «Prix à payer», des Palestiniens, des Arabes israéliens et des soldats israéliens, et vandalisent des lieux de culte musulmans ou chrétiens.
Sources : The Times of Israel, 8 septembre 2015 ; Europe 1, 5 août 2015.
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