Amal Bentounsi, la soeur de l'homme tué samedi dernier à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) par un policier mis en examen pour homicide volontaire, est formelle : cela fait longtemps que son petit-frère était devenu « l’homme à abattre ». Selon elle, il a été délibérément liquidé par la police qui « lui en voulait » depuis plus de 10 ans.
Le Parisien.fr rapporte ainsi qu'en 2000, le jeune Amine Bentounsi, alors âgé de 16 ans, « avait prétendu au commissariat de Meaux recevoir de l’argent liquide de la part d’un responsable de l’office HLM local pour brûler des voitures dans les quartiers afin de justifier la politique sécuritaire de Jean-François Copé, le maire UMP. Ses déclarations enregistrées sur procès-verbaux avaient été reprises par des médias nationaux, avant que des sanctions soient prises à l’encontre du commissaire et de son adjoint ». Sanctions que les policiers n'auraient, selon Amal Bentounsi, « pas digéré ». A l'époque, Jean-François Copé avait crié à la manipulation policière.
Ce matin, la jeune femme a réitéré ses accusations au micro de Jean-Jacques Bourdin sur RMC : « Mon frère a été assassiné [...]. C‘est un meurtrier qui a volontairement tué mon frère en lui tirant dans le dos, c’est une bavure, ce n’est pas du tout de la légitime défense et il y a des témoins, une autopsie qui le prouvent ».
Amal Bentounsi, la soeur de l'homme tué samedi dernier à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) par un policier mis en examen pour homicide volontaire, est formelle : cela fait longtemps que son petit-frère était devenu « l’homme à abattre ». Selon elle, il a été délibérément liquidé par la police qui « lui en voulait » depuis plus de 10 ans.
Le Parisien.fr rapporte ainsi qu'en 2000, le jeune Amine Bentounsi, alors âgé de 16 ans, « avait prétendu au commissariat de Meaux recevoir de l’argent liquide de la part d’un responsable de l’office HLM local pour brûler des voitures dans les quartiers afin de justifier la politique sécuritaire de Jean-François Copé, le maire UMP. Ses déclarations enregistrées sur procès-verbaux avaient été reprises par des médias nationaux, avant que des sanctions soient prises à l’encontre du commissaire et de son adjoint ». Sanctions que les policiers n'auraient, selon Amal Bentounsi, « pas digéré ». A l'époque, Jean-François Copé avait crié à la manipulation policière.
Ce matin, la jeune femme a réitéré ses accusations au micro de Jean-Jacques Bourdin sur RMC : « Mon frère a été assassiné [...]. C‘est un meurtrier qui a volontairement tué mon frère en lui tirant dans le dos, c’est une bavure, ce n’est pas du tout de la légitime défense et il y a des témoins, une autopsie qui le prouvent ».
Depuis seize ans, Conspiracy Watch contribue à sensibiliser aux dangers du complotisme en assurant un travail d’information et de veille critique sans équivalent. Pour pérenniser nos activités, le soutien de nos lecteurs est indispensable.