« Comment Rastorgouïev, Djemal et Radtchenko se sont-ils retrouvés, sans papiers, "nus" au sens strict, sans couverture ni accompagnement, en Afrique centrale où la population se bouffe parfois les uns les autres, au sens propre, et pas par faim, mais pour le plaisir » : c'est le commentaire aux relents racistes que Margarita Simonian, qui cumule les fonctions de directrice de Sputnik et de Russia Today (RT), a posté sur Twitter mardi 31 juillet avant de l'effacer. A la tête de RT depuis 2005, cette proche de Vladimir Poutine s'interrogeait sur les conditions dans lesquelles les journalistes russes Alexandre Rastorgouïev, Orkhan Djemal et Kirill Radtchenko, ont récemment été tués en République centrafricaine. Les trois reporters enquêtaient sur les activités d'une société privée militaire russe, Wagner, dont les mercenaires ont combattu en Ukraine et en Syrie.
« Comment Rastorgouïev, Djemal et Radtchenko se sont-ils retrouvés, sans papiers, "nus" au sens strict, sans couverture ni accompagnement, en Afrique centrale où la population se bouffe parfois les uns les autres, au sens propre, et pas par faim, mais pour le plaisir » : c'est le commentaire aux relents racistes que Margarita Simonian, qui cumule les fonctions de directrice de Sputnik et de Russia Today (RT), a posté sur Twitter mardi 31 juillet avant de l'effacer. A la tête de RT depuis 2005, cette proche de Vladimir Poutine s'interrogeait sur les conditions dans lesquelles les journalistes russes Alexandre Rastorgouïev, Orkhan Djemal et Kirill Radtchenko, ont récemment été tués en République centrafricaine. Les trois reporters enquêtaient sur les activités d'une société privée militaire russe, Wagner, dont les mercenaires ont combattu en Ukraine et en Syrie.
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