"On est face à des gens qui disent : on a une information, explique Edwy Plenel, directeur de la rédaction du Monde. Or, selon toute enquête sérieuse, ce n'est pas une information. Ces personnes, en l'occurrence Thierry Meyssan, répandent une fausse information." La plupart des journalistes reviennent sur cette méthode d'investigation approximative. "C'est une thèse qui se prétend une information", explique à son tour Edouard Launet, responsable de la page Internet à Libération. "L'information, c'est un travail, une procédure de validation. Quand un journal diffuse un article, il est collectivement validé", poursuit Edwy Plenel. Et c'est justement cette absence de validation que stigmatise Pascal Riché, correspondant de Libération à Washington : "Thierry Meyssan nous dit : Jugez-vous même, regardez, on vous donne des infos brutes. En fait, ce procédé est pervers."
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"On est face à des gens qui disent : on a une information, explique Edwy Plenel, directeur de la rédaction du Monde. Or, selon toute enquête sérieuse, ce n'est pas une information. Ces personnes, en l'occurrence Thierry Meyssan, répandent une fausse information." La plupart des journalistes reviennent sur cette méthode d'investigation approximative. "C'est une thèse qui se prétend une information", explique à son tour Edouard Launet, responsable de la page Internet à Libération. "L'information, c'est un travail, une procédure de validation. Quand un journal diffuse un article, il est collectivement validé", poursuit Edwy Plenel. Et c'est justement cette absence de validation que stigmatise Pascal Riché, correspondant de Libération à Washington : "Thierry Meyssan nous dit : Jugez-vous même, regardez, on vous donne des infos brutes. En fait, ce procédé est pervers."
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