Éric Delcroix (1944 -) est un avocat évoluant dans la mouvance négationniste. Défenseur attitré de Robert Faurisson durant une trentaine d’années, l'avocat parisien a défendu d’autres négationnistes.
Il est l’auteur de La Police de la pensée contre le révisionnisme. Du jugement de Nuremberg à la loi Gayssot (Colombes, Revue d’histoire révisionniste), publication pour laquelle il a été condamné en 1996.
Éric Delcroix est également l'un des signataires, aux côtés notamment de Dieudonné M’bala M’bala et de Maria Poumier, de la « Pétition pour l’abrogation de la loi Gayssot et la libération de Vincent Reynouard », lancée en août 2010 sur Internet par Paul-Eric Blanrue.
Ancien d'Ordre nouveau, Éric Delcroix a été candidat frontiste aux élections législatives du printemps 1997 et aux municipales de 1989 à Courbevoie. Il quittera le parti lepéniste pour rejoindre le MNR de Bruno Mégret.
En décembre 2010, Éric Delcroix démissionne de l’Association des Amis de Rivarol qu'il présidait. Il est le premier président de l’Institut Emmanuel Ratier.
Il est aussi signataire de la pétition « Liberté Pour Ryssen », présentée comme un « appel à tous les défenseurs de la liberté d’expression ».
IL A ÉCRIT :
« Robert Faurisson est notre dissident, et à travers lui a été condamnée la "propagande" anti-holocauste, comme en URSS est condamnée la propagande anti-soviétique. Certes ici c’est le conformisme qui le plus souvent sert de police de la pensée, mais on voit que les institutions judiciaires peuvent y prêter main ».
Source : Éric Delcroix, dans Intolérable intolérance (collectif), collection « Le Puits et le pendule », Éditions La Différence, 1981, p. 42.
(Dernière mise à jour le 02/10/2022)
Éric Delcroix (1944 -) est un avocat évoluant dans la mouvance négationniste. Défenseur attitré de Robert Faurisson durant une trentaine d’années, l'avocat parisien a défendu d’autres négationnistes.
Il est l’auteur de La Police de la pensée contre le révisionnisme. Du jugement de Nuremberg à la loi Gayssot (Colombes, Revue d’histoire révisionniste), publication pour laquelle il a été condamné en 1996.
Éric Delcroix est également l'un des signataires, aux côtés notamment de Dieudonné M’bala M’bala et de Maria Poumier, de la « Pétition pour l’abrogation de la loi Gayssot et la libération de Vincent Reynouard », lancée en août 2010 sur Internet par Paul-Eric Blanrue.
Ancien d'Ordre nouveau, Éric Delcroix a été candidat frontiste aux élections législatives du printemps 1997 et aux municipales de 1989 à Courbevoie. Il quittera le parti lepéniste pour rejoindre le MNR de Bruno Mégret.
En décembre 2010, Éric Delcroix démissionne de l’Association des Amis de Rivarol qu'il présidait. Il est le premier président de l’Institut Emmanuel Ratier.
Il est aussi signataire de la pétition « Liberté Pour Ryssen », présentée comme un « appel à tous les défenseurs de la liberté d’expression ».
IL A ÉCRIT :
« Robert Faurisson est notre dissident, et à travers lui a été condamnée la "propagande" anti-holocauste, comme en URSS est condamnée la propagande anti-soviétique. Certes ici c’est le conformisme qui le plus souvent sert de police de la pensée, mais on voit que les institutions judiciaires peuvent y prêter main ».
Source : Éric Delcroix, dans Intolérable intolérance (collectif), collection « Le Puits et le pendule », Éditions La Différence, 1981, p. 42.
(Dernière mise à jour le 02/10/2022)
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