Des conspirationnistes se mettent à dénoncer la théorie du complot. Faut-il s'en étonner ?
Des conspirationnistes se mettent à dénoncer la théorie du complot. Faut-il s'en étonner ?
Trump a placé le conspirationnisme au cœur des élections présidentielles américaines comme personne sans doute avant lui dans l’histoire récente des Etats-Unis.
Les propos du candidat aux primaires républicaines aux Etats-Unis sont relayés par des sites conspirationnistes. L’écroulement des médias traditionnels a laissé la place au chaos des réseaux sociaux. Et le phénomène est loin d’être exclusivement américain. Un «facho», Donald Trump ? Manifestement. Et les médias américains semblent commencer à le découvrir. Légèrement perturbé ? Apparemment, […]
Jeudi 1er octobre, Chris Harper Mercer, un étudiant américain de 26 ans, a abattu neuf personnes sur un campus universitaire de la petite ville de Roseburg, dans l'Oregon avant de se donner la mort après un échange de tirs avec des policiers. Les premiers éléments rassemblés par la presse indiquent qu'à l'instar d'autres tueurs de […]
Ses prêches de haine font un malheur sur Internet. Alain Soral, ancienne recrue du FN et grand copain de Dieudonné, est devenu l’une des plus influentes figures de l’extrême droite. Deux journalistes de StreetPress, Robin D’Angelo et Mathieu Molard, signent une enquête fouillée sur le "système Soral", une affaire florissante qui fait la fortune du polémiste antisémite. Extraits.
Un théoricien du complot italien applaudi à tout rompre au festival Rototom lors d’une conférence sur l’islamophobie… Conspiracy Watch y était !
Vues comme des productions folkloriques, les théories du complot nous font souvent rire. Jusqu’au moment où on ne rit plus, explique le philosophe australien Patrick Stokes dans ce texte, publié quelques jours après le massacre perpétré le mois dernier à l'église de Charleston, aux Etats-Unis.
On pourrait croire que ces provocations se limitent à des comportements individuels erratiques et isolés. Ce n’est pas le cas. Elles sont aussi le fait de groupes organisés.
Par Richard Hétu
La complosphère s’ingénie à faire passer l’assassinat du journaliste américain James Foley pour un « canular », un « fake », une « mise en scène » ou encore une « supercherie hollywoodienne ».