Karsenty, qui est aussi adjoint au Maire de Neuilly, appelle désormais le hacker extrémiste juif Grégory Chelli, alias Ulcan, à « s'occuper » de Pierre Haski, le directeur de la rédaction du site Rue89, qui avait pris parti pour Charles Enderlin. Rappelons que Grégory Chelli est visé par une information judiciaire pour « violences volontaires avec préméditation » et « dénonciation de crimes et délits imaginaires » depuis la mort par infarctus du père d'un journaliste de Rue89 qu'il harcelait.
Et sur le fond ? Rien n’a changé depuis le 30 septembre 2000. Un enfant de 12 ans du nom de Mohamed Al-Dura est mort, victime d’un échange de tirs entre soldats israéliens et forces de sécurité palestiniennes. Que les images de cette fusillade aient fait l'objet d'une exploitation propagandiste bien réelle atténue-t-il la campagne de calomnies et d'intimidations qui vise Charles Enderlin depuis lors ?
Les sous-entendus complotistes de Philippe Karsenty, qui remet en cause la mort d'un enfant ce jour-là, parle de « mise en scène » - comme s'il était aisé de tourner un film de fiction en pleine fusillade à balles réelles - et présente Mohamed Al-Dura et son père comme des « acteurs », ne reposent que sur des spéculations. Quatorze ans plus tard, les autorités israéliennes n'ont jamais manifesté la volonté de collaborer à une enquête indépendante sur ce drame.
Karsenty, qui est aussi adjoint au Maire de Neuilly, appelle désormais le hacker extrémiste juif Grégory Chelli, alias Ulcan, à « s'occuper » de Pierre Haski, le directeur de la rédaction du site Rue89, qui avait pris parti pour Charles Enderlin. Rappelons que Grégory Chelli est visé par une information judiciaire pour « violences volontaires avec préméditation » et « dénonciation de crimes et délits imaginaires » depuis la mort par infarctus du père d'un journaliste de Rue89 qu'il harcelait.
Et sur le fond ? Rien n’a changé depuis le 30 septembre 2000. Un enfant de 12 ans du nom de Mohamed Al-Dura est mort, victime d’un échange de tirs entre soldats israéliens et forces de sécurité palestiniennes. Que les images de cette fusillade aient fait l'objet d'une exploitation propagandiste bien réelle atténue-t-il la campagne de calomnies et d'intimidations qui vise Charles Enderlin depuis lors ?
Les sous-entendus complotistes de Philippe Karsenty, qui remet en cause la mort d'un enfant ce jour-là, parle de « mise en scène » - comme s'il était aisé de tourner un film de fiction en pleine fusillade à balles réelles - et présente Mohamed Al-Dura et son père comme des « acteurs », ne reposent que sur des spéculations. Quatorze ans plus tard, les autorités israéliennes n'ont jamais manifesté la volonté de collaborer à une enquête indépendante sur ce drame.
Depuis seize ans, Conspiracy Watch contribue à sensibiliser aux dangers du complotisme en assurant un travail d’information et de veille critique sans équivalent. Pour pérenniser nos activités, le soutien de nos lecteurs est indispensable.