C’est devenu l’activité principale des climatosceptiques sur internet : délégitimer le travail des experts du Giec, dont la synthèse du sixième rapport d'évaluation sera publiée le 20 mars. L'occasion d'analyser les méthodes des dénialistes qui visent à minimiser, voire nier l’urgence climatique.
Le Giec est "une machine de propagande politique", ses scientifiques sont des "escrolos". Sur Internet, les climatosceptiques cherchent à démontrer que ce Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat est corrompu. Mais pas seulement.
>> COP26, réchauffement : les théories du complot autour du climat
C'est ce que démontre le projet Climatoscope, lancé en 2015 par le mathématicien David Chavalarias, directeur de l’Institut des systèmes de complexes de Paris, et Maziyar Panahi, ingénieur au CNRS spécialisé en intelligence artificielle. Cet outil analyse les tweets des comptes climatosceptiques sur Twitter.
Le Giec est "une machine de propagande politique", ses scientifiques sont des "escrolos". Sur Internet, les climatosceptiques cherchent à démontrer que ce Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat est corrompu. Mais pas seulement.
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C'est ce que démontre le projet Climatoscope, lancé en 2015 par le mathématicien David Chavalarias, directeur de l’Institut des systèmes de complexes de Paris, et Maziyar Panahi, ingénieur au CNRS spécialisé en intelligence artificielle. Cet outil analyse les tweets des comptes climatosceptiques sur Twitter.
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