En réponse à une opinion publiée par LaLibre, concernant la carte d’identité qu'un frère Kouachi a oubliée dans la voiture, le blogueur Gricha Safarian fait part de sa "sidération". Il évoque une "question lourde de sous-entendus conspirationnistes" et des "raisonnements biaisés".
Au terme d’une bataille sémantique qui a vu s’implanter fermement dans le débat public le terme longtemps controversé d’ «islamophobie», chacun ou presque s’accorde à reconnaître que le racisme anti-musulman n’est pas une « haine imaginaire ». Isabelle Kersimon et Jean-Christophe Moreau ont publié le 23 octobre dernier Islamophobie, la contre-enquête (éd. Plein Jour). Selon eux, nous assistons au détournement d’une cause légitime au profit d’une campagne identitaire.
L'ancien ministre libanais Georges Corm estime que Daech est utilisé par les Etats-Unis, que les printemps arabes ont été instrumentalisés de l'extérieur et que le 11-Septembre ne s'est pas passé comme on nous le dit... C'est cet « expert » que L'Orient-Le-Jour interroge pour évoquer le problème du conspirationnisme. Expert ou praticien ?
Par quelle grâce ce mouvement dont l’« ambition est d’inventer une autre manière de faire vivre la démocratie » et qui compte parmi ses membres fondateurs des personnalités engagées à gauche a-t-il pu attirer sur lui la bienveillance d’un groupe d’extrême droite comme Egalité & Réconciliation ?
UN Watch, une ONG de défense des droits de l’homme et de lutte contre l’antisémitisme présidée par un ancien responsable de l’American Jewish Committee, s’est ému par un communiqué de la nomination le 8 mai dernier de l’universitaire turque Hilal Elver au poste de rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l'alimentation, estimant […]