[LU SUR LE WEB] Un homme a ouvert le feu dans une pizzeria, influencé par une théorie du complot anti-Clinton. Pour la presse, ce fait divers illustre l'inquiétante influence des «fake news».
Voir aussi : * Etats-Unis : l’élection qui met les conspirationnistes au pouvoir ? * Un conspirationniste nommé Donald Trump * Alex Jones : le show conspirationniste permanent
44% des Américains se sont informés sur Facebook pendant la dernière campagne présidentielle américaine. Pour en parler, Sonia Devillers reçoit Tristan Mendès-France, spécialiste des nouveaux usages numériques et enseignant au CELSA de Paris.
Trump a placé le conspirationnisme au cœur des élections présidentielles américaines comme personne sans doute avant lui dans l’histoire récente des Etats-Unis.
Les propos du candidat aux primaires républicaines aux Etats-Unis sont relayés par des sites conspirationnistes. L’écroulement des médias traditionnels a laissé la place au chaos des réseaux sociaux. Et le phénomène est loin d’être exclusivement américain. Un «facho», Donald Trump ? Manifestement. Et les médias américains semblent commencer à le découvrir. Légèrement perturbé ? Apparemment, […]
Vues comme des productions folkloriques, les théories du complot nous font souvent rire. Jusqu’au moment où on ne rit plus, explique le philosophe australien Patrick Stokes dans ce texte, publié quelques jours après le massacre perpétré le mois dernier à l'église de Charleston, aux Etats-Unis.
On pourrait croire que ces provocations se limitent à des comportements individuels erratiques et isolés. Ce n’est pas le cas. Elles sont aussi le fait de groupes organisés.
Comment une pure intox conspirationniste est passée en moins d'un mois d'une officine de désinformation complotiste à un titre emblématique de la gauche altermondialiste italienne proche du Monde diplomatique.