Le mouvement d’extrême droite Civitas s’oppose à l’accueil de demandeurs d’asile sur notre territoire, brandissant la théorie complotiste du « grand remplacement ».
A quelques jours du second tour de l'élection présidentielle en Turquie, Recep Tayyip Erdogan se retrouve en position de force face à son adversaire Kemal Kiliçdaroglu. Le président sortant s’est installé au fil des années en maître dans l’art de fabriquer des théories du complot pour se maintenir au pouvoir.
Les manifestations dénonçant la gestion de la crise du Covid-19 par les autorités japonaises se poursuivent, distillant l'idée que la pandémie est un vaste mensonge. Au-delà de la pandémie, d'autres événements de l'Histoire japonaise ont été la cible des théories du complot.
Le mythe de l'adrénochrome, une drogue issue du sang d'enfants sacrifiés, a été relancé au début du mois de mars à la télévision. Et si cette théorie ne date pas d’hier, derrière elle se cache l’expression de croyances conspirationnistes beaucoup plus vastes.
Conspiracy Watch a pu visionner l’entretien avec l’activiste panafricaniste franco-béninois Kemi Seba déprogrammé par LCP. Le directeur adjoint de la rédaction du Figaro, Yves Thréard, n’y informe pas son public au sujet du parcours sulfureux de son invité. Ni de ses liens avec le Kremlin et son appareil de propagande en Afrique.