Il y a dix jours, la presse américaine a révélé que le candidat démocrate au poste de gouverneur de l'Ohio, Dennis Kucinich, a perçu 20.000 dollars en contrepartie de sa participation à une conférence de soutien au régime du dictateur syrien Bachar el-Assad.
L'édition dominicale de Die Welt a publié hier un article de Seymour Hersh contestant la version "mainstream" de l'attaque chimique de Khan Cheikhoun (Syrie) le 4 avril 2017. Selon le journaliste américain, aucun gaz sarin n'aurait jamais été utilisé au cours du raid aérien. Elliot Higgins, fondateur du site Bellingcat, propose ici une critique sans concession de l'article publié par le quotidien allemand.
Comme à la suite du massacre chimique de la Ghouta en 2013, Vladimir Poutine est allé jusqu'à parler de « mise en scène spécialement conçue » à des fins médiatiques.
Cette thèse en dit plus sur les carences cognitives de ses défenseurs que sur la réalité des faits. La question énergétique est un élément essentiel de compréhension des situations géopolitiques. Mais force est de constater que les enjeux de la guerre en Syrie sont d’abord syriens.
[LU SUR LE WEB] Des fausses informations émanant des deux camps ont accompagné la fin de la bataille, mardi, menée par le régime contre la zone rebelle.
Le 10 août dernier, Donald Trump a de nouveau accusé le président Barack Obama et sa rivale démocrate Hillary Clinton d’avoir « créé » l’Etat islamique (EI). Que faut-il en penser ? Expert pour les questions de sécurité nationale sur CNN, Peter Bergen, explique que c’est la conjonction de quatre facteurs qui a donné naissance à l’EI.
Les attentats de 2015 ont eu leur lot d'"explications conspirationnistes". Coup de projecteur sur les adeptes français de la théorie du complot dans "Envoyé spécial" du 7 janvier 2016. Un reportage de Paul Sanfourche, Tatiana Daligault, Elie Marot, Nils Montel et Mikaël Bozo.