Chère lectrice, ami lecteur, STOP ! Arrêtez immédiatement de lire ce papier. Vous qui pensiez être sur un média dédié à la lutte contre le complotisme, vous commettez une grave erreur, vous êtes en fait tombé dans un terrible piège tendu par de sombres officines au service des puissants !
Tollé général sur les réseaux sociaux ! Fin décembre 2017, sur Twitter, une interview du youtubeur Usul refait surface. Le vidéaste, également chroniqueur sur Mediapart, appelle a « débloquer la démocratie », « en tabassant les flics ». Usul n'est pas seulement en guerre contre la « vision de la police très très Charlie » et ce qu'il appelle de façon plus générale la « mythologie républicaine ». Il semble aussi fasciné par la pensée « anti-système » d'Alain Soral et de ses compagnons idéologiques qu'il prétend paradoxalement combattre.
Les premiers éléments de l’enquête sur l’assassinat de Boris Nemtsov permettent de porter un jugement rétrospectif sur les théories du complot qui n’ont pas manqué d’apparaître immédiatement après la mort de l’opposant russe.
Sur RT Deutsch, un ancien journaliste reconverti dans le conspirationnisme accuse le gouvernement français d'être derrière les attentats de janvier 2015. Sans être contredit...
Les attentats du World Trade Center ont-ils jamais eu lieu ? Ont-ils été organisés par la CIA elle-même ? Le gouvernement américain, ou français, sont-ils derrière le massacre de Charlie Hebdo ou ceux du 13 novembre à Paris ? Ou bien n’est-ce pas plutôt Israël, dans le but d’attiser la haine de l’Islam en occident ? Les médias mondiaux sont-ils aux mains d’une secte qui les manipule à son seul profit ?
En 2002 paraissait le livre collectif Les Territoires perdus de la République (Mille et Une Nuits). Des professeurs de collèges et lycées de quartiers dits sensibles y alertaient l'institution scolaire et l'opinion publique sur le climat de violence et d'intolérance qui s'installait dans ces établissements. La sortie du livre fut accompagnée d'un silence gêné ; […]
Dans une interview au Parisien, l'ex-compagne de Charb émet l'hypothèse selon laquelle le terrorisme islamiste n'est pas le seul mobile de l'attentat qui a touché l'hebdomadaire. Des soupçons balayés en partie par l'enquête.