Critiqué pour sa complaisance à l'égard du régime des Khmers rouges au Cambodge dans les années soixante-dix, ce proche de Noam Chomsky, théoricien de la « fabrication du consentement », a adopté sur le génocide des Tutsis ou le massacre de Srebrenica des positions jugées « négationnistes ».
Actuellement jugé à La Haye devant le TPIY, Radovan Karadzic a suggéré que les services secrets français étaient derrière le massacre de Srebrenica. D'où vient cette théorie du complot ?