L'initiative visant à boycotter la plateforme d'Elon Musk pendant 24 heures a hystérisé la complosphère francophone. Sans surprise, sa réaction, faite d'attaques ad hominem d'une rare violence, de diffamations et de fausses informations, illustre à la perfection les problèmes qui ont conduit à lancer cette journée sans Twitter.
Depuis le 7 octobre, les hostilités entre le Hamas et Israël font l’objet d’une déferlante de théories du complot et de désinformation sur les réseaux sociaux. Cette vague inédite de contenus conspirationnistes met à l’épreuve les politiques de modérations des plateformes, déjà pointées du doigt.
Les violences urbaines qui ont suivi le décès de Nahel ont convaincu une partie de l'extrême droite de la nécessité de s'organiser en prévision d'une guerre civile. Un discours sécessioniste alimenté par une rhétorique antisémite et complotiste.
[AVERTISSEMENT] La plupart des extraits qui suivent revêtent un caractère conspirationniste ou émanent de personnalités évoluant dans la sphère conspirationniste. Ils ne constituent en aucun cas des informations fiables et vérifiées.
A quelques jours du second tour de l'élection présidentielle en Turquie, Recep Tayyip Erdogan se retrouve en position de force face à son adversaire Kemal Kiliçdaroglu. Le président sortant s’est installé au fil des années en maître dans l’art de fabriquer des théories du complot pour se maintenir au pouvoir.
Après son inculpation le 4 avril dernier par un tribunal de New York, Donald Trump, se dit victime d'une "chasse aux sorcières" orchestrée par les démocrates. Une petite musique conspirationniste à laquelle nous a habitués l’ancien président des Etats-Unis, et depuis très longtemps.
La semaine dernière, l'ex-capitaine de gendarmerie Alexandre Juving-Brunet est sorti de la prison où il avait été placé pour des suspicions d'escroquerie en bande organisée. S'il met de l'eau dans son vin, l'activiste n'a pas perdu la foi dans son projet de monnaie alternative.