Les déclarations d'un ancien membre des services de renseignement américains selon lesquelles "le gouvernement travaille depuis des décennies sur les objets extraterrestres" ont relancé début juin les théories du complot sur les ovnis.
Après son inculpation le 4 avril dernier par un tribunal de New York, Donald Trump, se dit victime d'une "chasse aux sorcières" orchestrée par les démocrates. Une petite musique conspirationniste à laquelle nous a habitués l’ancien président des Etats-Unis, et depuis très longtemps.
Mise à la une de l’actualité par la pandémie de Covid-19 puis par la guerre russe contre l’Ukraine, la présidente de la Commission européenne incarne pour les complotistes un totalitarisme européen inféodé aux États-Unis et ennemi de la souveraineté des peuples.
Ballon chinois et engins volants détruits engendrent des montées de parano, où il est question d’hologrammes, d’extra-terrestres, de « Blue Beam » et d’Antéchrist.
L’Amérique, déplore Vincent Hervouët, « préfère dénigrer les complotistes plutôt que de désigner les comploteurs ». Problème : les soi-disants « comploteurs » ne le sont que dans des récits complotistes réfutés depuis belle lurette.
Des documents déclassifiés sur l’assassinat de Kennedy récemment mis en ligne ont réveillé la complosphère qui croit plus que jamais à un coup de la CIA.
Après la polémique autour des propos à caractère antisémite de Kanye West, le rappeur américain est en passe de devenir le futur patron du réseau social Parler. A-t-il été inspiré par le libertarien Elon Musk, nouveau patron de Twitter ?
La dernière élection présidentielle américaine a bel et bien donné lieu à une manipulation politique d'envergure. Et ce n'est pas du tout celle à laquelle croient les partisans de Donald Trump...