Du 27 septembre au 1er octobre, plusieurs Français se sont retrouvés à la conférence « New horizon », organisée à Téhéran à l’initiative du réalisateur Nader Talebzadeh avec le soutien du régime et censée réunir des « penseurs indépendants » autour du thème du « sionisme » et du « lobby israélien » (1). Parmi […]
Anti-Europe, anti-Otan, François Asselineau a créé un parti en 2007, l'Union populaire républicaine, qui n'a encore jamais réussi à réunir les 500 signatures nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. Et pourtant, Laurent Ruquier l'a invité sur le plateau très couru de "On n'est pas couché" samedi 20 septembre. Un choix dangereux, pour notre contributrice.
Dans les années 70, sous l'influence d'une extrême-gauche « antisioniste », le négationnisme subit une certaine réorientation, qui s'étend ensuite jusqu'à la fin des années 90 vers le monde arabo-musulman, portée par la star déchue du parti communiste Roger Garaudy.
Par quelle grâce ce mouvement dont l’« ambition est d’inventer une autre manière de faire vivre la démocratie » et qui compte parmi ses membres fondateurs des personnalités engagées à gauche a-t-il pu attirer sur lui la bienveillance d’un groupe d’extrême droite comme Egalité & Réconciliation ?
Comment une pure intox conspirationniste est passée en moins d'un mois d'une officine de désinformation complotiste à un titre emblématique de la gauche altermondialiste italienne proche du Monde diplomatique.