Critiqué pour sa complaisance à l'égard du régime des Khmers rouges au Cambodge dans les années soixante-dix, ce proche de Noam Chomsky, théoricien de la « fabrication du consentement », a adopté sur le génocide des Tutsis ou le massacre de Srebrenica des positions jugées « négationnistes ».
Dans la soirée du 17 novembre 2017, Gérard Filoche a relayé sur son compte Twitter un photomontage mêlant plusieurs références aux traditionnelles thématiques complotistes d'extrême droite : « axe américano-sioniste », « complot judéo-ploutocratique » pour la domination du monde, banalisation du nazisme, inversion accusatoire assimilant les Juifs aux nazis...
Des études récentes révèlent que l’antisémitisme concerne plus des 2/3 de la population grecque. Les théories du complot et l’antisémitisme sont, en Grèce, les deux faces d’une même pièce.
Agé de 83 ans, l'intellectuel tiers-mondiste est convaincu que les Etats-Unis sabotent le Venezuela, qu'ils ont assassiné Hugo Chavez et que le leader de l'opposition Henrique Capriles est un agent de la CIA.
Qui était Ernst Zündel ? Un héros de la liberté d’expression injustement martyrisé par le « lobby sioniste » pour ses conceptions historiques hétérodoxes ? Ou un antisémite fanatique qui trouva des supporters jusque dans les franges les plus douteuses de la gauche radicale ?
Vous revenez sur cette phrase prononcée hier par Jean-Luc Mélenchon, je cite : « Cazeneuve, le gars qui s’est occupé de l’assassinat de Rémi Fraisse »...
Dans les débats sur la dette, certains prétendent que si la France ne peut plus emprunter directement à la Banque de France c’est à cause de l’article 25 de la loi de 1973 "Pompidou-Giscard" qui interdit à l’état français de faire tourner la planche à billet. En fait, cet article prend seulement le relais de l’article 13 d’une loi du 24 juillet 1936. Mais cette interdiction n’existe pas vraiment.