Il y a tout juste un an, le 6 janvier 2021, des milliers d’hommes et de femmes marchaient sur le Capitole à Washington. Un déferlement de haine s’abattait sur le siège du Congrès américain. Des assaillants convaincus que l'élection présidentielle leur a été "volée" – une idée largement diffusée dans les milieux conspirationnistes.
Six ans après les attentats du 13-Novembre, une théorie du complot s’est invitée au procès de ces attaques. Le complotisme est à la fois un instrument de radicalisation, et un outil pour prolonger l’effroi terroriste.
Depuis plus de quinze ans, la rappeuse altermondialiste Keny Arkana banalise un complotisme radical. Dans l'un de ses derniers titres, elle pourfend les « médecins collabos arrosés par Big Pharma »...