Vétéran de la complosphère, François Asselineau rechausse les crampons pour les élections européennes. Au programme : crise sanitaire, immigration et poutinophilie.
L’autosatisfait président de l’UPR, dont les accointances avec l’extrême droite ne datent pas d’hier, ne jure que par le Frexit. En 2017, il avait obtenu 0,92 % des suffrages au premier tour. Par ici la sortie ?