La Chine est un émetteur majeur de la propagande complotiste russe sur la guerre en Ukraine. L’occasion d’analyser la politique de Pékin d’utiliser le conspirationnisme comme une véritable arme informationnelle.
First Draft News montre que des réseaux de désinformation pro-russes ne sont pas étrangers aux théories du complot vaccino-sceptiques qui circulent en Afrique de l'Ouest.
Marina Cabiten, Rudy Reichstadt et Tristan Mendès France décryptent les phénomènes complotistes dans « Complorama ». Le troisième épisode est consacré à la géopolitique du complotisme.
Depuis le début du mois de mars, la diplomatie chinoise suggère que, contrairement à ce qui est communément admis, le Covid-19 ne trouverait pas son origine en Chine mais proviendrait de l’étranger et va jusqu'à relayer d'obscurs sites complotistes. Spécialiste de la Chine et des deux Corées, Antoine Bondaz est chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) et enseignant à Sciences Po. Pour lui, les manipulations de l’information auxquelles se livre la Chine s’inscrivent dans une stratégie visant à déstabiliser les démocraties occidentales.
Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine du 09/03/2020 au 15/03/2020).
La reconnaissance officielle, par l'Iran, de sa responsabilité dans le crash d'un Boeing ukrainien le 8 janvier dernier a plongé la complosphère dans le désarroi. Aujourd'hui, les plus irréductibles continuent d'évoquer un piège tendu à Téhéran par Washington.