C’est la nouveauté de la rentrée pour Complorama : les épisodes de cette 5e saison seront disponibles en vidéo ! Retrouvez les décryptages de Rudy Reichstadt, Tristan Mendès France et Pauline Pennanec'h sur les rapports entre le complotisme et le régime vénézuélien.
Le 28 juillet 2024, Nicolás Maduro gagne l’élection présidentielle avec 51,2 % des voix selon le Conseil national électoral (CNE). Le conseil se dit victime d’un piratage informatique. Le soir même, l’opposition dénonce une fraude électorale massive. C’est le candidat Edmundo Gonzalez Urrutia qui aurait dû être élu.
Sidney Powell, l’avocate de Trump, est inculpée pour avoir tenté de manipuler les votes lors de la présidentielle de 2020. Et elle n’est pas la seule...
Selon Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch, le leader de La France insoumise n’en est pas à son coup d’essai en matière de complotisme. Interview.
Connu pour ses interventions décalées, le député des Pyrénées-Atlantiques a perdu de son capital sympathie en prenant Éric Zemmour dans ses bras lors de la manifestation des policiers devant l’Assemblée nationale. Au-delà des blagues, le Béarnais est pourtant un compagnon de route de la complosphère.
Alors que le Venezuela s’enlise dans une crise sans précédent dans son histoire et que Nicolàs Maduro, le successeur d’Hugo Chávez, tente à tout prix de se maintenir au pouvoir, la désinformation sur la réalité de la situation politique vénézuélienne bat son plein. Spécialiste du castrisme, l'anthropologue franco-vénézuélienne Elisabeth Burgos a accepté de répondre à nos questions.
Pour la deuxième année consécutive, la chaîne de télévision latino-américaine TeleSUR a diffusé sur son compte Twitter un GIF ouvertement conspirationniste sur les attentats du 11-Septembre.
Agé de 83 ans, l'intellectuel tiers-mondiste est convaincu que les Etats-Unis sabotent le Venezuela, qu'ils ont assassiné Hugo Chavez et que le leader de l'opposition Henrique Capriles est un agent de la CIA.
Les « chavistes critiques » font désormais les frais d'une rhétorique conspirationniste qu’ils ont pourtant aidé à façonner : ils se retrouvent sur le banc des accusés, rejetés, comme le reste de l’opposition démocratique au président Maduro, dans le camp des « traîtres » à la patrie.