Alors que Facebook, YouTube et Twitter sont régulièrement associés au problème de la régulation des contenus toxiques sur Internet, WhatsApp gagne en influence dans une relative indifférence. Le service proposé par l'application de messagerie cryptée contribue pourtant à la viralité de contenus complotistes.
Pierre-André Taguieff publie aujourd'hui en e-book aux éditions de l'Observatoire "La Pandémie par-delà les peurs : réinventer l'État-nation ?" Nous en publions ici les bonnes feuilles.
L’enquête de la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch réalisée par l’Ifop sur l’état du complotisme en France dresse un état des lieux des pratiques médiatiques des Français et montre que l’usage des réseaux sociaux pour s’informer est manifestement corrélé à la validation des théories complotistes.
Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine du 11/02/2019 au 17/02/2019).
La nouvelle grande enquête de la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch réalisée par l’Ifop sur l’état du complotisme en France a été l’occasion, au vu de l’actualité récente, de s’interroger sur l’éventualité d’une implantation des thèses complotistes au sein du mouvement des « gilets jaunes ». Il s’avère que les sympathisants de ce mouvement adhèrent à ces thèses de manière plus prononcée que le reste de la population. C’est ce qu’explique Jérôme Fourquet, directeur du département « Opinion et stratégies d’entreprise » de l’Ifop.
Suite à la publication de notre enquête dressant un état des lieux en France des thèses conspirationnistes, quelques interrogations sont apparues de différents horizons s’agissant de la méthodologie. Jérôme Fourquet, directeur du département « Opinion et statégies d’entreprise » de l’Ifop, y répond.