La Russie mène en Ukraine une guerre contre l’information largement observée en Syrie depuis des années. Une stratégie qui met en scène les mêmes acteurs ayant déjà relayé les mêmes théories complotistes éculées pour masquer les crimes de Vladimir Poutine et de Bachar el-Assad.
Connu pour ses interventions décalées, le député des Pyrénées-Atlantiques a perdu de son capital sympathie en prenant Éric Zemmour dans ses bras lors de la manifestation des policiers devant l’Assemblée nationale. Au-delà des blagues, le Béarnais est pourtant un compagnon de route de la complosphère.
En 2013, le monde découvrait les images de la terrible attaque chimique perpétrée dans la Ghouta de Damas par le régime syrien. Un crime nié par un chercheur du MIT à la retraite et un « journaliste indépendant » fan de Dieudonné. Autopsie d’un cas d’école.
Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine du 28/01/2019 au 03/02/2019).
La complosphère s’ingénie à faire passer l’assassinat du journaliste américain James Foley pour un « canular », un « fake », une « mise en scène » ou encore une « supercherie hollywoodienne ».