Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine du 08/04/2019 au 14/04/2019).
Wikileaks récuse l'authenticité d'un document particulièrement embarrassant pour Julian Assange. Mais l'organisation échoue toujours à expliquer pour quelle raison le publiciste d'extrême droite Israel Shamir était son représentant en Russie.
LU SUR LE WEB : Un fait divers non résolu, comme il y en a des centaines par an aux Etats-Unis, a été transformé, par des manipulations politiques et des reprises erronées, en un élément de langage conspirationniste.
Punchline. Le compte Twitter de la chaîne RT en allemand a suscité il y a quelques jours les commentaires sarcastiques de twittos inquiets de la propagation du conspirationnisme dans l'espace public.
LU SUR LE WEB : Comment les partisans de Donald Trump réactivent une théorie du complot apparue l'année dernière pour faire diversion sur les liens entre l'entourage du président et les autorités russes.
LU SUR LE WEB : WikiLeaks a annoncé offrir une récompense de 20.000 dollars à quiconque permettant l’arrestation du tueur de Seth Rich, un employé du parti démocrate.
Lire la troisième partie. Conspiracy Watch : Vous évoquez à plusieurs reprises le « désir de transparence » qui travaille nos sociétés démocratiques depuis les Lumières et abordez en particulier l’affaire WikiLeaks. Quelle relation cet impératif de transparence vous paraît-il entretenir avec la pensée du soupçon ? Pierre-André Taguieff : Le désir de transparence est […]
Le fondateur australien de WikiLeaks, qui a défrayé la chronique tout au long de l'année dernière, a été suspecté de travailler pour l’Etat d’Israël et d’être manipulé par la CIA. Un comble pour ce « cyberactiviste » dont on sait désormais qu’il est lui-même un fervent amateur de théories du complot...