L’Amérique, déplore Vincent Hervouët, « préfère dénigrer les complotistes plutôt que de désigner les comploteurs ». Problème : les soi-disants « comploteurs » ne le sont que dans des récits complotistes réfutés depuis belle lurette.
« Le "grand remplacement" a d’abord été brocardé comme un fantasme, une peur irraisonnée. Puis, la formule chère à Renaud Camus a été dénoncée comme une manie "complotiste". Et si c’était tout simplement un projet ? Un objectif ? Une réalité en marche qu’on ne peut, qu’on ne veut arrêter », écrit Eric Zemmour dans les colonnes du Figaro.