« Krapo » : c'est sous ce pseudonyme que Clément, un jeune dessinateur, a évolué plusieurs années durant dans l’une des mouvances conspirationnistes les plus influentes et les plus radicales, celle de Dieudonné et d'Alain Soral. Comment Clément s'est-il rapproché de la « Dissidence » ? Qu'y a-t-il fait ? Comment et pourquoi s'en est-il éloigné ?
Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine #44).
11-Septembre, vaccins, Merah, Charlie Hebdo, attentats du 13-Novembre, Daech... : on ne compte plus les théories du complot relayées par Gabriel Rabhi. Focus sur le plus controversé des fils de Pierre Rabhi.
L’éthique journalistique élémentaire voudrait qu’un professionnel ne s’autorise à relayer, avec sincérité, que des informations dûment vérifiées auprès d’interlocuteurs objectifs et dignes de foi. Mais quand il s'agit de la Syrie, rien n’est jamais simple…
Maxime Darquier montre comment une intox complotiste née sur le Réseau Voltaire de Thierry Meyssan s'est retrouvée dans la bouche de Marine Le Pen puis dans celle de Jean-Luc Mélenchon.
Mercredi 27 mai 2015, lors d'une conférence à Roubaix avec le sociologue Saïd Bouamama, proche du Parti des Indigènes de la République, le polémiste "anti-impérialiste" Michel Collon a tenu les propos suivants : « Comme toujours dans les médias, on a les faits, une partie des faits, et de préférence, les sensationnels, et une autre […]
Plutôt qu’un complot contre l’ancien président Ianoukovitch, les paroles du ministre estonien ne tendent-elles pas à montrer avant tout l’efficacité de la propagande russe en même temps que la perméabilité au conspirationnisme des plus hautes sphères de la diplomatie européenne ?
Au moment où la communauté internationale se déchire sur une éventuelle intervention en Syrie, une partie de l'opinion publique se laisse bercer par la complotite très active des "Bacharophiles". Pourquoi un tel succès? Eléments d'analyse.
L’affaire Kelly représente un moment charnière dans l’histoire récente de la démocratie britannique. De l’avis de la plupart des observateurs, elle a eu pour principale conséquence de réduire encore davantage la confiance des Britanniques dans leur gouvernement.