A quelques jours du second tour de l'élection présidentielle en Turquie, Recep Tayyip Erdogan se retrouve en position de force face à son adversaire Kemal Kiliçdaroglu. Le président sortant s’est installé au fil des années en maître dans l’art de fabriquer des théories du complot pour se maintenir au pouvoir.
Israël et des services de renseignements occidentaux accusés de “planifier” une guerre civile : c’est l’un des narratifs complotistes générés par la révolte en Iran. Des théories qui peuvent venir de l’intérieur même du pays, pour tenter de convaincre l’opinion iranienne, mais pas seulement.