A l'occasion du sommet mondial sur l'intelligence artificielle à Paris, Complorama s'intéresse à cette technologie, utilisée pour alimenter et propager les théories du complot. Elle peut aussi, dans certains cas, être un levier pour lutter contre les dérives complotistes.
A l'occasion du sommet mondial sur l'intelligence artificielle à Paris, Complorama s'intéresse à cette technologie, utilisée pour alimenter et propager les théories du complot. Elle peut aussi, dans certains cas, être un levier pour lutter contre les dérives complotistes.
L’intelligence artificielle développée par une société californienne pourrait devenir l’arme idéale des propagateurs de fake news, et ce à moindre coût.
Fascinant et effrayant, ce robot conversationnel est capable d'écrire des textes et de dialoguer avec un langage humain presque troublant. À peine cinq jours après son lancement, l’intelligence artificielle a franchi le million d’utilisateurs gratuits dans le monde. Mais que se passe-t-il quand elle tombe entre de mauvaises mains ?
FranceSoir a cédé sa première place au classement de la désinformation à « Epoch Times », un organe de presse chinois covidosceptique qui sévit dans plus de 30 pays.
Après avoir diffusé des théories du complot sur le Covid-19, l’ancien sénateur Yves Pozzo di Borgo est revenu à son discours originel à l’occasion de l’invasion de l’Ukraine en relayant la propagande du Kremlin.