L'initiative visant à boycotter la plateforme d'Elon Musk pendant 24 heures a hystérisé la complosphère francophone. Sans surprise, sa réaction, faite d'attaques ad hominem d'une rare violence, de diffamations et de fausses informations, illustre à la perfection les problèmes qui ont conduit à lancer cette journée sans Twitter.
Mise à la une de l’actualité par la pandémie de Covid-19 puis par la guerre russe contre l’Ukraine, la présidente de la Commission européenne incarne pour les complotistes un totalitarisme européen inféodé aux États-Unis et ennemi de la souveraineté des peuples.