Si l'ex-directeur d'un institut médico-légal israélien a reconnu que son service avait prélevé, jusqu'au début des années 2000, des tissus sur des cadavres sans consentement des familles, cette pratique (qui affectait principalement des Israéliens) est désormais proscrite et les prélèvements en vue de greffes sont encadrés juridiquement. Cela ne corrobore en rien la rumeur selon laquelle des Palestiniens auraient été tués dans le but de récupérer leurs organes.
Le business toujours plus florissant de Dieudonné (Capital.fr, 2 juillet 2015) Dieudonné, l’autre Le Pen (L'Humanité, 16 janvier 2015) Qui sont les avocats de Mehdi Nemmouche ? (RTBF, 31 juillet 2014) A la conférence de Dieudonné sur Gaza, "même Hitler il ne bombardait pas les hôpitaux" (FranceTVinfo, 27 juillet 2014) Dieudonné, un pas de plus […]