La catastrophe a donné naissance à un complotisme qui, il y a quelques mois, a failli tuer. Jérôme Fourquet (Ifop) et Rudy Reichstadt (Conspiracy Watch) dressent un état des lieux de l’opinion publique sur le sujet. Les sympathisants de l'extrême droite se distinguent nettement des autres.
Philippe Karsenty ne désarme pas. Un peu plus d'un an après sa condamnation dans le cadre du procès en diffamation que lui avait intenté France Télévisions et le journaliste Charles Enderlin, le chantre français de la théorie du complot sur la mort du jeune Palestinien Mohamed Al-Dura fait de nouveau parler de lui. Karsenty, qui […]
Dimanche 19 mai 2013, une commission d’enquête israélienne a rendu public un rapport de 44 pages concluant que les principales affirmations du reportage de Charles Enderlin sur la mort du jeune Mohammed Al-Dura, diffusé sur France 2 le 30 septembre 2000, « étaient dépourvues de fondement compte tenu des éléments matériels que la chaîne avait […]
Extraits de Charles Enderlin, "Un enfant est mort", éd. Don Quichotte, 2010, chapitre 4. Cette opération est construite sur un moule identique à celui d’autres histoires du même genre. À l’instar des « théories » sur les attentats du 11 septembre ou sur la mort de Lady Di, dans l’affaire Al-Dura les « conspirationnistes » […]
La dénonciation du CRIF et de son « pouvoir » est devenu l’un poncifs du discours « antisioniste » hexagonal. Certains veulent y voir une sorte de vitrine institutionnelle d’un « lobby sioniste » à l’influence démesurée.
Depuis plusieurs années maintenant, un argumentaire conspirationniste s’est développé autour du reportage de Charles Enderlin diffusé au JT de France 2 le 30 septembre 2000 qui relatait la fusillade du carrefour de Netzarim (Bande de Gaza) au cours de laquelle un jeune garçon palestinien, Mohammed Al-Dura, a été mortellement touché.
Larry Derfner se propose ici de défendre la cause de la raison et de la décence dans une affaire dont la compréhension est entièrement parasitée par la multiplication des contenus conspirationnistes.