Les repas de fêtes approchent, et avec eux les discussions parfois mouvementées en famille ou entre amis. Parfois, le complotisme peut entraîner de véritables ruptures des liens entre proches.
Enseignant-chercheur en psychologie sociale et en statistique à l'Université de Fribourg (Suisse), Pascal Wagner-Egger publie aujourd'hui "Le bruit de la conspiration". Conspiracy Watch en publie les bonnes feuilles.
Gérald Bronner publie ce mois-ci "Apocalypse cognitive", aux Presses universitaires de France. Conspiracy Watch en publie les bonnes feuilles en exclusivité.
La revue Nature a publié il y a quelques jours un article d’Aleksandra Cichocka, directrice du département de psychologie politique à l’Université du Kent à Canterbury. Conspiracy Watch en propose ici une traduction.
L’anxiété est un moteur puissant du phénomène complotiste. Or, elle découle presque naturellement de l'état d'incertitude qui caractérise les démocraties modernes.
Diffuse et incontrôlable, la théorie du complot nie le hasard et les probabilités. Internet lui donne les moyens d'une expansion inédite, phénomène qui s’est récemment déchaîné avec la pandémie liée au coronavirus. Celle-ci a engendré sur le Web et les réseaux sociaux les théories les plus fantaisistes.