[LU SUR LE WEB] Les théories du complot ont plus de chances de fonctionner chez ceux qui ont le sentiment de perdre le contrôle sur leurs vies. Ce qui pourrait, du coup, contribuer à faire comprendre pourquoi une personne qui croit à une théorie du complot a plus de chances de croire à une deuxième.
Dans son dernier numéro, Le Monde diplomatique publie un dossier sur le conspirationnisme qui ne manque pas d’intérêt. On y retrouve cependant les ambiguïtés qui, depuis plusieurs années maintenant, accompagnent presque toutes les tentatives d’approcher l’objet « théorie du complot » au sein de la gauche antilibérale.
Le 12 février dernier, Rudy Reichstadt était invité en compagnie de Laurent Bazin, journaliste et co-auteur de Tous paranos ? Pourquoi nous aimons tant les complots, et de Nicolas Vanderbiest, chercheur à l’université de Louvain spécialiste en e-réputation, à un entretien du Service d'Information du Gouvernement (SIG) consacré au conspirationnisme. Une occasion de décrypter les […]
Sympathisants d'extrême-droite et d'extrême-gauche sont plus enclins que les autres à adopter les théories du complot, selon une étude néerlandaise publiée ce mois de janvier.
Déjà constatées à l’occasion d’études antérieures, les prédispositions de notre cerveau aux théories du complot sont accentuées par le choc émotionnel provoqué par l’issue dramatique d’un événement.
Les complotistes tentent de faire accroire qu'une étude de psychosociologie atteste que les défenseurs des « thèses officielles » sont des fanatiques. Une étude dont ils dénaturent en réalité complètement les conclusions.