Un rapport publié par le CeMAS, un think tank allemand spécialisé sur l'extrémisme politique et le conspirationnisme, revient sur l'émergence des Reichsbürger en Allemagne.
A quelques jours du second tour de l'élection présidentielle en Turquie, Recep Tayyip Erdogan se retrouve en position de force face à son adversaire Kemal Kiliçdaroglu. Le président sortant s’est installé au fil des années en maître dans l’art de fabriquer des théories du complot pour se maintenir au pouvoir.
A la télévision ou sur les réseaux sociaux, certaines personnalités relaient auprès d'une large audience des idées complotistes, phénomène accéléré par la crise du Covid.
Dans une interview accordée mercredi 20 juillet 2016 à la chaîne qatarie Al-Jazeera, le président turc Recep Tayyip Erdogan, a affirmé, sans les citer, que des pays étrangers pourraient être impliqués dans le putsch avorté de la semaine dernière. « D’autres pays pourraient être impliqués dans la tentative de coup d’Etat qui s’est déroulée dans […]
De nombreux observateurs ont vu dans le putsch avorté de vendredi une manœuvre destinée à renforcer le pouvoir du président Erdogan. Une théorie "pas crédible" selon Bayram Balci, chercheur au CNRS. "Certains dirigeants organisent de faux attentats-suicides pour renforcer leur pouvoir, et ces gens ont ce genre de scénarios en tête", déclarait l'imam Fethullah Gülen […]
Le coup de force annoncé n'a finalement pas eu lieu. Selon les sources, ils ont été entre 100 et 300 personnes à avoir manifesté un peu avant midi aux abords de l'Assemblée nationale pour renverser la République.