Dans la soirée du 17 novembre 2017, Gérard Filoche a relayé sur son compte Twitter un photomontage mêlant plusieurs références aux traditionnelles thématiques complotistes d'extrême droite : « axe américano-sioniste », « complot judéo-ploutocratique » pour la domination du monde, banalisation du nazisme, inversion accusatoire assimilant les Juifs aux nazis...
LU SUR LE WEB : Un fait divers non résolu, comme il y en a des centaines par an aux Etats-Unis, a été transformé, par des manipulations politiques et des reprises erronées, en un élément de langage conspirationniste.
Punchline. Le compte Twitter de la chaîne RT en allemand a suscité il y a quelques jours les commentaires sarcastiques de twittos inquiets de la propagation du conspirationnisme dans l'espace public.
Commençons par une précaution : je ne suis pas spécialiste des médias. Je ne dispose pas non plus du temps nécessaire pour me livrer à des enquêtes très poussées en ce domaine. Voilà pour les limites, que j’assume, de ce billet. En revanche, je revendique une observation attentive de ce qui a trait à la […]
Propagande ou simples canulars, les fausses informations sont partout. Apprenons à nous en méfier et évitons de tomber dans le panneau. Faisons marcher notre esprit critique dans les deux sens : oui, il faut questionner les articles des journaux, mais il faut appliquer cette discipline aussi avec les partages de nos amis sur les réseaux sociaux ou les sites d’information soi-disant alternative.
[LU SUR LE WEB] Des fausses informations émanant des deux camps ont accompagné la fin de la bataille, mardi, menée par le régime contre la zone rebelle.
Le comportement d'Amel Sakaou sur Facebook confirme que le complotisme, même lorsqu'il nie la réalité du djihadisme, est un marqueur de radicalisation.
Je suis nommément pris à partie par le webmaster du site Les-Crises.fr. Cette attaque a pour origine l’alerte que j’ai lancée samedi après-midi sur les réseaux sociaux, après que je me suis aperçu qu’Olivier Berruyer était invité à participer à une table-ronde lors des Journées d’été d’« A Gauche pour gagner », le courant du Parti socialiste où se réunissent ceux qu’on appelle communément les « frondeurs ».