Six ans après les attentats du 13-Novembre, une théorie du complot s’est invitée au procès de ces attaques. Le complotisme est à la fois un instrument de radicalisation, et un outil pour prolonger l’effroi terroriste.
Il y a cent ans, dans une série de trois articles parus entre le 16 et le 18 août 1921, Philip Graves, correspondant du Times à Constantinople, faisait la lumière sur le plus célèbre des faux documents antijuifs.