Un plan secret de propagation d'un virus, un projet d'attaque terroriste ou nucléaire... De nombreuses théories complotistes visant les Jeux de Paris 2024 circulent depuis plusieurs mois sur les réseaux sociaux. Mais l'olympisme inspire la sphère conspirationniste depuis au moins les années 70.
La vidéo d'un couple qui refuse de se soumettre à un test d'alcoolémie de la gendarmerie est devenue virale sur les réseaux sociaux la semaine dernière. Ils se présentent comme étant des "citoyens souverains", du nom de la mouvance complotiste issue des Etats-Unis. Du refus de l'autorité jusqu’au complotisme, quelles sont leurs croyances ?
Un rapport publié par le CeMAS, un think tank allemand spécialisé sur l'extrémisme politique et le conspirationnisme, revient sur l'émergence des Reichsbürger en Allemagne.
Dans Crayon noir, l'historienne Valérie Igounet et le dessinateur Guy Le Besnerais reviennent sur l'engrenage fatal qui a coûté la vie à Samuel Paty le 16 octobre 2020.
Depuis le 7 octobre, les hostilités entre le Hamas et Israël font l’objet d’une déferlante de théories du complot et de désinformation sur les réseaux sociaux. Cette vague inédite de contenus conspirationnistes met à l’épreuve les politiques de modérations des plateformes, déjà pointées du doigt.
Le 1er septembre 1983, l’URSS abat un avion civil sud-coréen qui s’était égaré dans son espace aérien, tuant 269 personnes. Pour se couvrir, Moscou recourt à une campagne de désinformation massive. Et renouera avec cette pratique trois décennies plus tard avec la destruction du vol 17 de la Malaysia Airlines au-dessus de l’Ukraine…
Cette inquiétante affaire « WaffenKraft » met en lumière le lien organique qui unit complotisme et radicalisation. Rappelons les faits : quatre membres de ce groupe d’ultra-droite sont jugés jusqu’au 30 juin devant la cour d’assises des mineurs de Paris pour « association de malfaiteurs terroriste ». Parmi les cibles qui avaient été envisagées par ces néonazis : des mosquées, un concert […]
Conspiracy Watch a pu visionner l’entretien avec l’activiste panafricaniste franco-béninois Kemi Seba déprogrammé par LCP. Le directeur adjoint de la rédaction du Figaro, Yves Thréard, n’y informe pas son public au sujet du parcours sulfureux de son invité. Ni de ses liens avec le Kremlin et son appareil de propagande en Afrique.