Le député dénonce le régime « illégal » et « dictatorial » de Nicolas Maduro mais « ne peut pas ne pas imaginer que la CIA est pour quelque chose dans ce qui va se passer au Venezuela »…
Le site d'Alternative libertaire propose une intéressante interview de militants d'El Libertario, un groupe anarchiste de Caracas, sur la situation en cours au Venezuela. Ces-derniers rejettent sans appel la grille de lecture complotiste : « Le gouvernement prétend que ce mouvement est le résultat d’une vaste conspiration de l’impérialisme US, de la bourgeoisie et de […]
Cuba est l'un des plus proches alliés du Venezuela dont le gouvernement attribue depuis des années ses échecs en matière économique et la dégradation de la situation politique à une cabale impérialiste fomentée par la CIA.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a dénoncé mardi 16 mai 2017 en Conseil des ministres le « complot » orchestré selon lui contre son pays par les Etats-Unis avec le concours de l'opposition vénézuélienne et la « campagne de persécution » dont il serait victime.
LU SUR LE WEB : A l’évidence, une dizaine de militaires et une cinquantaine de fusils ne suffisent pas à renverser un gouvernement, même aussi impopulaire que celui de Nicolas Maduro.
Albert Rivera, le chef de file du jeune parti centriste espagnol Ciudadanos s’est rendu à Caracas en début de semaine dernière, à l’invitation de l’Assemblée nationale vénézuélienne, où il a rencontré les leaders de l’opposition. Une visite qui a suscité l’ire du gouvernement chaviste. Dans son émission hebdomadaire, retransmise sur la chaîne de télévision publique […]
Egalité & Réconciliation, l’organisation d’Alain Soral, cultive le secret. Pas de chance, StreetPress publie de nouvelles révélations ! De ses relations avec le clan Le Pen au nombre précis de ses adhérents : bienvenue dans l’arrière-boutique d’E&R.
De révolution populaire pacifique, « révolution de couleur » en est venu à désigner une tentative d’ingérence visant à fomenter des coups d’État soft contre des régimes jugés trop indociles à l’égard des États-Unis. Comment cette dénomination mi-lyrique mi-sarcastique a-t-elle pu en arriver à nommer l’exact contraire de ce qu’elle entendait signifier au départ ?